Festival des Musiques Sacrées de Paris 2010
Après le succès de sa première édition, en 2008, dans le XIIIe arrondissement, le Festival des Musiques Sacrées de Paris a investi, en 2009, des lieux parisiens symboles de culture et d’échange : Sorbonne, Unesco, Bibliothèque Nationale de France. Ce sont le Théâtre des Champs Elysées, la mairie du XIIIe arrondissement, le Musée d’art et d’histoire du judaïsme et la Sorbonne qui accueilleront cette troisième édition.
Quatre temps forts pour ce festival 2010 avec, notamment, une soirée d’ouverture au Théâtre des Champs Elysées mettant à l’honneur la diversité des chants sacrés musulmans du Maghreb, interprétés par des artistes de renommée internationale venus de Tunisie, d’Algérie et du Maroc.
Avec, aussi, un concert ouvert à tous, le dimanche 11 avril à 15 h 30, à la mairie du XIIIe arrondissement de Paris, partenaire historique du Festival.
Pour rassembler le plus grand nombre - croyants et non-croyants - autour des musiques sacrées des trois grandes traditions monothéistes, le principe originel de tous les concerts sera bien sûr respecté lors de ces quatre rendez-vous : une des trois traditions musicales en seconde partie, les deux autres traditions en première partie.
Comme les deux années précédentes, nous nous sommes attachés à offrir au public une palette aussi riche que possible des trois traditions musicales : chant liturgique orthodoxe, répertoire yiddish russe, libanais, gnawa, traditions arabo-andalouses, musiques sacrées tchèque, française, séfarades, judéo-espagnoles, malouf tunisien… Le 9 avril, le Théâtre des Champs Elysées vivra la rencontre de six traditions culturelles : algérienne, française, judéo-espagnole, marocaine, tchèque, tunisienne ! Une diversité sensible également dans le choix des artistes qui apporteront au festival 2010 sa couleur, sa particularité : Divna, de Serbie, pour le chant byzantin, Hend Zouari, de Tunisie, princesse du Kanoun, Marlène Samoun, entre jazz et Orient, Abderrahim Abdelmoumen, du Maroc pour la musique soufie et la musique andalouse, Gaâda Diwane de Béchar, entre Afrique et Orient pour le gnawa, le chant de la fraternité, du bonheur de vivre ensemble.
Parce que tels sont les fondements de ce festival : rassembler des héritages culturels différents autour de ce qui unit, permettre à tous d’accéder à une culture de qualité, démocratiser les hauts lieux de la culture parisienne; rapprocher les différentes cultures présentes à Paris.
Tous les renseignements concernant la programmation 2010 se trouvent sur le site du Festival :
Vous y retrouverez aussi les moments forts de l’édition 2009 et toutes les informations sur l’organisation du Festival, sa philosophie et ses buts ainsi que sur notre association.
Courriel : contact@festivaldesmusiquessacreesdeparis.fr