Quand les vétérinaires font de la politique
Ouf ! Je reviens tout juste de chez le vétérinaire pour faire un rappel de vaccination à Tigrou, mon fauve. Il m'a fallu plus de 20 furieuses minutes pour le faire entrer dans sa cage de transport.
Mais ça y est, c'est fait ! Le plus drôle, c'est que chez le véto, il s'est fait doux comme un agneau, entrant et sortant de sa cage à volonté. Salopard, va !
Il faut tout de même que je vous raconte le bon mot du jour, ou plutôt mes mauvaises oreilles, comme il vous plaira. En effet, en m'accueillant, la secrétaire me demande "Typhus Corrézien?"
Ne pouvant croire que les collègues de ma "chère" vétérinaire (70,80 € la piquouse) puissent se laisser aller à d'aussi basses attaques contre notre candidat socialiste, je lui demandai de réïtérer sa question, levant ainsi toute équivoque : "Typhus Coryza ?", faisant référence au type de vaccin pour lequel je m'étais périlleusement déplacé.